A propos
Improvisations est un podcast/blog fait pour exprimer rapidement, sans préparation préalable et sans mise en forme postérieure, des idées qui me viennent.
J’enregistre sans texte écrit à l’avance, sans correction des fautes commises lors de l’enregistrement, avec du spontané et de l’improvisé, ou une préparation qui se limite aux quelques minutes qui précèdent l’enregistrement.
C’est ensuite seulement que j’écris le post qui figure sur le page.
Rédigé après coup, il s’écarte le plus souvent de l’enregistrement, poursuivant plus dans la voie tracée par celui-ci que la répétant.
Pour les textes et réflexions plus aboutis, on se rendra sur mon autre blog-podcast : Aldor (le blog).
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Aldor (le blog)
Tous au Larzac
C’est l’improbabilité de tout ce qui se noua, de tout ce qui arriva à se nouer et à démentir tous les pronostics sérieux et rationnels qui pouvaient, qui avaient sans doute été faits sur le cours probable, raisonnable, des événements, qui étonne d’abord et rend joyeux parce que libéré du poids que fait ordinairement peser sur nos idées, sur nos projets, le réalisme, ce réalisme qui continuellement nous susurre que cela ne vaut pas la peine, que c’est perdu d’avance, que jamais on n’y arrivera.
Le matin des magiciens
Dans la France un peu coincée (certes moins qu’aujourd’hui) des années 1960, Le matin des magiciens, où se mêlaient mysticisme et vénération de la science, antirationalisme et modernité, fut une bouffée d’air.
La rencontre (de Charles Pépin)
Dans la rencontre, par la rencontre, on devient. Cette rencontre peut être celle d’une personne, d’une œuvre, d’un voyage, d’une simple idée. Mais, de cette rencontre, on sort transformé.
L’Art de la joie (de Goliarda Sapienza)
L’Art de la joie est l’histoire de Modesta, une sicilienne née au début du XXème siècle, qu’on découvre lorsqu’elle a quatre ans et qu’elle tente de ne pas être totalement écrasée par la misère et l’horizon de désespoir que referment sur elle sa mère crasseuse et sa sœur trisomique, et qu’on suit jusqu’à la soixantaine, ayant surmonté et s’étant aguerrie, enrichie, épanouie de tous les accidents, de tous les malheurs, de toutes les rencontres et de toutes les amours vécues.
Bernard Marx et le meilleur des mondes
Je crois que je me suis depuis toujours identifié à Bernard Marx, le héros pas très glorieux du Meilleur des mondes. Et je crois aussi que j’ai toujours ressenti un certain attrait pour ce Brave new world, pour ce monde qui, s’il relève en partie du cauchemar, a aussi pour lui d’être simple, infiniment simple à vivre.
Lignes
Lignes rejoint Improvisations
Je vais abandonner le site Lignes. Les prochains articles seront versés sur le site Improvisations. Les…
Toutes ces vies vidées des plaisirs de la vie
Ce doit être bizarre de vivre et de n’avoir jamais vécu que dans cet entre soi, cet enclos vitré, loin des bruits, des cris, des lumières de la jungle ; de n’avoir jamais connu la fraîcheur de la pluie et la caresse du soleil, la senteur poivrée du pétrichor, la crainte et le bonheur mêlés d’être un parmi les autres êtres de la grande île natale.
Création perpétuelle
La beauté du monde, la vie, la grâce, le bonheur ne nous sont pas donnés une fois pour toutes ; il faut, à chaque instant, les entretenir, les soigner, les choyer, les entourer d’attention et d’amour pour qu’elles se perpétuent, se renouvellent, se revivifient, se recréent et s’épanouissent. Sans cet amour et cette attention continuelles, la flèche du temps, l’entropie et le chaos emportent tout, réduisent chaque chose en poussière, ramènent tout au néant.
Sauver la face
Sauver la face de l’adversaire, c’est, à l’instant de lui faire rendre gorge, retenir notre victoire, et non seulement ne pas le tuer (ce qui est simplement sauver sa vie) mais lui tendre une main qui lui permette de considérer que son combat n’aura pas été totalement vain. C’est chercher un point de conciliation au moment même où nous pourrions nous en passer et reconnaître, parce que nous n’en avons plus besoin, que notre adversaire n’avait pas totalement tort.
Produire, construire, fabriquer
À partir de quel moment cette capacité créatrice née du besoin de survivre et grandie de l’aspiration à l’amour et au beau se mue-t-elle en une sorte de logorrhée ou d’incontinence matérielle et productive, en un besoin incontrôlable de générer des choses ? À partir de quel moment notre plaisir de créer devient-il soif d’humaniser le monde entier, de détruire tout ce qui n’est pas nous ?
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