Ce qui doit guider l’action du manager, dans le châtiment comme dans le reste de son activité, c’est le souci de l’efficacité, de la proportionnalité, du devoir : ce n’est ni lui, ni son bras, ni sa main qui punit, c’est l’entreprise et la nécessité ; ce ne sont pas ses intérêts propres qu’il défend mais la pérennité, la réputation, les revenus et le cash-flow.