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Aldor (le blog)
Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Les histoires que raconte Gloria Steinem dans Une révolution intérieure font penser à Modesta, la magnifique héroïne de L’Art de la joie, de Goliarda Sapienza. Ce sont des récits de renaissance, de naissance peut-être, à tout le moins de libération.
Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Le livre de Rachel Carson, à la fois solidement documenté et écrit avec poésie et humanisme, ne fut donc pas sans effet, il s’en faut de beaucoup. Et pourtant, soixante ans après, comme cinquante ans après le rapport Meadows, comment ne pas constater qu’il fut vain, en ceci que tout ce qu’il disait est à redire, que tout ce qu’il avait permis de commencer est à recommencer ?
L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages est la pièce maîtresse de l’exposition Épiphanies que le Collège des Bernardins consacre à Augustin Frison-Roche.
La sorcière (de Jules Michelet)

C’est dans cette période de mort, de noirceur et d’étouffement, dans cette époque qui sera bientôt écrasée sous le joug féodal et battue sans relâche par les fourches d’un christianisme combattant tout ce qui lui résiste, que la sorcière apparaît, incarnant la résistance et le refuge.
Cabane (d’Abel Quentin)

Que fait-on, quand on sait mais qu’on ne peut pas ? Quand on sait, qu’on a parlé mais parlé dans le désert ; qu’on a dit mais que nul n’a voulu nous entendre ; que le laps de temps dont on disposait pour éviter la catastrophe est révolu et qu’il est désormais trop tard ?
Lignes
Ode à la Grèce

J’aime les poulpes accrochés aux fils des tavernes,
Les grands platanes aux feuilles murmurantes,
Les ports, ces portes ouvertes sur les chemins du monde,
Leur parfum d’huile et de mazout, promesse d’aventure,
L’élite intellectuelle, politique ou plutôt administrative

Ivres de soleil et de pluie, comme épuisées après l’amour, les pivoines, ces belles endormies, laissaient tomber leur tête lourde, ouvrant grand leurs lèvres de soie rose. Sous l’œil voyeur, des intimités charnelles se dévoilaient.
Par moments

Par moments, je pense à elles,
A ces femmes enfermées dont l’ombre se dissout
Et qu’il ne faut pas oublier.
Une soirée chez les fées <br>3. Rencontre avec Minité

Quittant les deux sœurs (je n’en pouvais plus des idioties qu’elles ressassaient sans que personne ne moufte, moi le premier, d’ailleurs, et j’en ai honte), j’eus la surprise et le plaisir de découvrir, posément installée sur un fauteuil Louis XV, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, à qui je voue, depuis toujours, une admiration sans bornes. Elle…
Une soirée chez les fées<br> 2. Celles qui ne vont jamais seules

… Continuant mon chemin, je suis arrivé à la hauteur d’une sorte d’attroupement : comme presque toujours (vivement que la profession d’architecte se féminise et qu’on tienne compte des besoins différents des deux sexes !) il y avait la queue devant les toilettes des femmes. Et au milieu de la queue, un petit groupe serré que…