[visitor-maps]
Partager :
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Aldor (le blog)
Cabane (d’Abel Quentin)
Que fait-on, quand on sait mais qu’on ne peut pas ? Quand on sait, qu’on a parlé mais parlé dans le désert ; qu’on a dit mais que nul n’a voulu nous entendre ; que le laps de temps dont on disposait pour éviter la catastrophe est révolu et qu’il est désormais trop tard ?
L’Ève future (d’Auguste de Villiers de l’Isle-Adam)
En 1885, Thomas Edison, pour sauver du désespoir un de ses amis tombé amoureux d’une actrice très belle mais stupide et vulgaire, en crée une réplique artificielle, dite andréïde, physiquement indiscernable de l’original et dotée d’un cerveau, d’un système nerveux, de muscles et d’articulations mécaniques et électriques lui donnant l’apparence de l’émotion, de l’intelligence et de la sensibilité. Tel est, brièvement résumée, la trame de L’Ève future, ce roman d’Auguste de Villiers de l’Isle-Adam publié en 1886.
Battlestar Galactica (de Ronald D. Moore)
Ce qui me plaît, au fond, dans la série Battlestar Galactica, c’est l’idée, très banale et très tarte à la crème mais à laquelle je crois profondément, selon laquelle l’intuition, le coeur et les tripes sont de meilleurs guides que la raison, et que c’est seulement en allant au bout de l’incarnation, dans les affres du corps et de la chair, du désir et de la faiblesse, qu’on accède au spirituel, si ce n’est au divin. Ce qui me plaît et qui m’attire dans cette longue histoire, c’est l’espèce d’illustration de la pensée de Pascal contraposée, quelque chose comme : c’est en faisant la bête que souvent on fait l’ange.
Antidote au culte de la performance (d’Olivier Hamant)
Le marché du village a peut-être moins comme fonction de nous permettre d’accéder à des biens divers que de nous donner l’occasion de croiser la crémière et son joli sourire : imaginer que les choses et les êtres, les projets et les systèmes sont univoques, faits pour ceci ou cela, et que c’est à cette seule aune qu’ils devraient être évalués, c’est faire preuve d’une incompréhension totale et délirante du monde.
La Belle est la Bête
C’est pour avoir accepté de se mettre à nu, de découvrir l’épaisse toison ténébreuse que recouvrait sa peau d’homme propre sur soi que le prince non seulement peut gagner l’amour de Belle mais devient prince et d’abord homme. Et il le devient non seulement de mettre au jour cette partie enfouie de sa nature, mais d’accepter, de vivre sa sauvagerie, de connaître les tourments, les déchirements, les plaisirs et les remords que provoque cette plongée au cœur des ténèbres.
Lignes
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : dernière partie : l’apparition
Les grandes enquêtes d’Aldor : des mammouths à Porquerolles : dernière partie : l’apparition
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 5ème partie : la Lycastre
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 5ème partie : la Lycastre
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 4ème partie : la science bouleversée
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 4ème partie : la science bouleversée
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 3ème partie : François-Joseph Fournier
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 3ème partie : François-Joseph Fournier
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 2ème partie : s’il y avait des pingouins, pourquoi pas des mammouths ?
Les grandes enquêtes d’Aldor : Des mammouths à Porquerolles : 2ème partie : s’il y avait des pingouins , pourquoi pas des mammouths ?