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Aldor (le blog)
Hécube, pas Hécube (de Tiago Rodrigues)

Il y a la scène, qui n’est pas simplement le miroir mais le lieu de la répétition, le lieu singulier de la répétition, d’une répétition qui jamais ne se répète : simul et singulis. La scène est le lieu passeur de mondes, sorte d’Aleph où se crée, se façonne, évolue, sous la parole sage et prophétique du choeur, ce qui n’est pas encore figé, où se crée ce qui sera plus tard avant que le plus tard, que le trop tard n’advienne.
Une révolution intérieure (de Gloria Steinem)

Les histoires que raconte Gloria Steinem dans Une révolution intérieure font penser à Modesta, la magnifique héroïne de L’Art de la joie, de Goliarda Sapienza. Ce sont des récits de renaissance, de naissance peut-être, à tout le moins de libération.
Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Le livre de Rachel Carson, à la fois solidement documenté et écrit avec poésie et humanisme, ne fut donc pas sans effet, il s’en faut de beaucoup. Et pourtant, soixante ans après, comme cinquante ans après le rapport Meadows, comment ne pas constater qu’il fut vain, en ceci que tout ce qu’il disait est à redire, que tout ce qu’il avait permis de commencer est à recommencer ?
L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages est la pièce maîtresse de l’exposition Épiphanies que le Collège des Bernardins consacre à Augustin Frison-Roche.
La sorcière (de Jules Michelet)

C’est dans cette période de mort, de noirceur et d’étouffement, dans cette époque qui sera bientôt écrasée sous le joug féodal et battue sans relâche par les fourches d’un christianisme combattant tout ce qui lui résiste, que la sorcière apparaît, incarnant la résistance et le refuge.
Lignes
Êtres de chant

À écouter les chants, j’ai l’impression que le chant fut premier, premier avant la musique et les mots.
Ode à la Grèce

J’aime les poulpes accrochés aux fils des tavernes,
Les grands platanes aux feuilles murmurantes,
Les ports, ces portes ouvertes sur les chemins du monde,
Leur parfum d’huile et de mazout, promesse d’aventure,
L’élite intellectuelle, politique ou plutôt administrative

Ivres de soleil et de pluie, comme épuisées après l’amour, les pivoines, ces belles endormies, laissaient tomber leur tête lourde, ouvrant grand leurs lèvres de soie rose. Sous l’œil voyeur, des intimités charnelles se dévoilaient.
Par moments

Par moments, je pense à elles,
A ces femmes enfermées dont l’ombre se dissout
Et qu’il ne faut pas oublier.
Une soirée chez les fées <br>3. Rencontre avec Minité

Quittant les deux sœurs (je n’en pouvais plus des idioties qu’elles ressassaient sans que personne ne moufte, moi le premier, d’ailleurs, et j’en ai honte), j’eus la surprise et le plaisir de découvrir, posément installée sur un fauteuil Louis XV, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, à qui je voue, depuis toujours, une admiration sans bornes. Elle…