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Aldor (le blog)
Printemps silencieux (de Rachel Carson)

Le livre de Rachel Carson, à la fois solidement documenté et écrit avec poésie et humanisme, ne fut donc pas sans effet, il s’en faut de beaucoup. Et pourtant, soixante ans après, comme cinquante ans après le rapport Meadows, comment ne pas constater qu’il fut vain, en ceci que tout ce qu’il disait est à redire, que tout ce qu’il avait permis de commencer est à recommencer ?
L’adoration des mages (d’Augustin Frison-Roche)

L’adoration des mages est la pièce maîtresse de l’exposition Épiphanies que le Collège des Bernardins consacre à Augustin Frison-Roche.
La sorcière (de Jules Michelet)

C’est dans cette période de mort, de noirceur et d’étouffement, dans cette époque qui sera bientôt écrasée sous le joug féodal et battue sans relâche par les fourches d’un christianisme combattant tout ce qui lui résiste, que la sorcière apparaît, incarnant la résistance et le refuge.
Cabane (d’Abel Quentin)

Que fait-on, quand on sait mais qu’on ne peut pas ? Quand on sait, qu’on a parlé mais parlé dans le désert ; qu’on a dit mais que nul n’a voulu nous entendre ; que le laps de temps dont on disposait pour éviter la catastrophe est révolu et qu’il est désormais trop tard ?
L’Ève future (d’Auguste de Villiers de l’Isle-Adam)

En 1885, Thomas Edison, pour sauver du désespoir un de ses amis tombé amoureux d’une actrice très belle mais stupide et vulgaire, en crée une réplique artificielle, dite andréïde, physiquement indiscernable de l’original et dotée d’un cerveau, d’un système nerveux, de muscles et d’articulations mécaniques et électriques lui donnant l’apparence de l’émotion, de l’intelligence et de la sensibilité. Tel est, brièvement résumée, la trame de L’Ève future, ce roman d’Auguste de Villiers de l’Isle-Adam publié en 1886.
Lignes
Par moments

Par moments, je pense à elles,
A ces femmes enfermées dont l’ombre se dissout
Et qu’il ne faut pas oublier.
Une soirée chez les fées <br>3. Rencontre avec Minité

Quittant les deux sœurs (je n’en pouvais plus des idioties qu’elles ressassaient sans que personne ne moufte, moi le premier, d’ailleurs, et j’en ai honte), j’eus la surprise et le plaisir de découvrir, posément installée sur un fauteuil Louis XV, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, à qui je voue, depuis toujours, une admiration sans bornes. Elle…
Une soirée chez les fées<br> 2. Celles qui ne vont jamais seules

… Continuant mon chemin, je suis arrivé à la hauteur d’une sorte d’attroupement : comme presque toujours (vivement que la profession d’architecte se féminise et qu’on tienne compte des besoins différents des deux sexes !) il y avait la queue devant les toilettes des femmes. Et au milieu de la queue, un petit groupe serré que…
Une soirée chez les fées <br>1. Carabosse ?

Quand je l’ai vue, de loin, j’ai d’abord cru que c’était Carabosse, et me suis demandé ce qu’elle faisait là, qui pouvait avoir eu l’idée saugrenue de l’inviter malgré les casseroles qu’elle traînait derrière elle.
Attrapé !

Un coup de soleil se promenait hier
Dans le jardin du Luxembourg.