Quand les oiseaux chantent, que les hirondelles filent en tous sens, que les fleurs partout sont répandues sur l’herbe des prairies, que les papillons, les abeilles et les bourdons si gros, si poilus, si indifférents, si mignons, volètent d’un coeur à l’autre ; quand la splendeur du printemps éclate tellement qu’on en est ébahi, il n’y a que la joie, la joie dont on se laisse envahir, qui soit à la hauteur de la la beauté du monde.