Se mettre dans la peau d’une personne, c’est tenter l’expérience d’un lâcher-prise total durant lequel on se fie entièrement à ce que susurre, à ce que chuchote, à ce que hurle plutôt notre corps, ou plutôt le corps de cet être que nous essayons d’être, cet être que, magiquement, nous comprendrons probablement plus en le singeant qu’en l’étudiant, un scalpel et les ressources de l’esprit à la main.