Un rêve de discordance, de traitement inadéquat, que j’ai fait cette nuit et qui m’a réveillé.
Je le relie à la conversation que j’avais eue, quelques heures auparavant, avec l’aimée. Une de ces conversations qui ouvrent des abîmes au travers desquels elle et moi, chacun de notre côté probablement, semblons parfois chuter ; une de ces conversations singulières qui donnent l’impression, en dépit de tout de ce qui nous relie, de tout ce que nous sommes, de ne pas être compris du tout par l’autre et d’être traité comme si nous étions un étranger.
C’est cette angoisse du quiproquo que raconte ce rêve plein de discordances dans lequel, comme on l’entendra, ayant postulé pour un poste, je me retrouve dans un lit au milieu d’une salle blanche.
Une suite de discordances qu’introduit et que termine des passages de l’Hiver, d’Antonio Vivaldi tel qu’enregistré par Il Giardino Armonico.
Ça arrive les discordances. Ça met du piment dans les relations humaines.
Je t’embrasse cher Aldor
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