Tityre !
Tu patules, récubant sous les tegmines fages,
Muse sylvestre et tenue qui médite l’avène,
Nous, aux confins de la douce patrie, linquimons l’arve.
Nous fuyons le pays ; toi, Tityre, lent dans l’ombre.
De l’Amarylle formose tu fais les sylves résonner.
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