On désire qui l’on désire ; on désire être désiré de qui l’on désire ; et l’on désire aussi son propre désir, qui est rassurance, éclat de puissance et de vie.
Oui : son désir aussi, son désir en soi, on le désire, et peut-être plus que tout : il nous est réjouissance, fête païenne et libation.
Et c’est pourquoi aussi nous chérissons celles et ceux qui chez nous éveillent le désir.
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