Nous accordons plus d’importance, d’intérêt et de valeur aux superstructures qu’aux éléments de base ; au superflu qu’à ce qui est nécessaire. De là une des difficultés à affronter la crise écologique : nous avons en effet beaucoup plus de mal à nous mobiliser et à ne serait-ce que dépenser de l’argent pour l’air, l’eau ou les autres ressources indispensables que pour un concert, un téléphone ou un beau vêtement.