Si je devais, moi, protéger les hommes, les faibles hommes, de la concupiscence et des errements que suscite en eux la vue et l’existence même des femmes, je ne me contenterais pas de demander à celles-ci de cacher leurs cheveux.
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Avec les animaux comme avec les êtres humains, la caresse, dès qu’elle ne s’impose pas, est bijective, à la fois donnée et reçue, plaisant à qui la donne comme à qui la reçoit. Au point qu’à strictement parler, la caresse ne se donne pas plus qu’elle ne se reçoit ; elle se partage ; elle est un dialogue.
On prend, à ne pas mettre les points au bout des i,
Le risque de n’être pas, de n’être pas compris.
Mais c’est là, justement : là, dans ce risque pris,
Que réside, du message, le sens le plus précis.
Il y avait ce matin, du côté de Jussieu où je me promenais, une brocante. Plein de marchands vendant des objets hétéroclites à plein de…
Silhouettes noires Sous le ciel blanc Frôlant les toits De l’arc de leurs ailes : Voici revenues les hirondelles Qui de leurs vols font le…
Malheureux celui qui, Parce qu’elle sera flétrie, Méprise la beauté De la fleur épanouie. Parce qu’elle est éphémère, Il croit qu’elle est mensonge ; Pauvre…
C’est toujours amusant quand, dans un ascenseur,Une femme, ayant vu qu’il ne restait que moi,Sort de son sac à main un tube de rouge à…
J’en connais une chère (elle se reconnaîtra) Dont tous les mots écrits (et souvent les paroles) Invariablement se terminent En points de suspension. Je m’y…
Sur l’eau je flotte, Les bras en croix, Faisant la planche Les yeux au ciel. Ma mère ainsi m’apprit A flotter sur la mer, A…