Ce qui fait la valeur de la croyance, de la foi, de l’amour, du don, c’est évidemment qu’ils sont librement et joyeusement donnés, épousés, consentis. Comment peut-on ne pas comprendre que, forcés, ils ne sont plus rien ?
Tant que le bien est abondant, chacun y accède comme il veut, selon ses besoins ou ses désirs. Mais quand la ressource est contrainte, comment fait-on ? Soit on ne fait rien, soit on réglemente l’accès par les prix, soit on réglemente l’accès par la planification.