Il a suffi d’à peine deux mois, d’un peu de soleil et du reflux de la maladie pour que soit oubliés tous nos déchirements, tous nos doutes, tous nos serments.
Il a suffi d’à peine deux mois, d’un peu de soleil et du reflux de la maladie pour que soit oubliés tous nos déchirements, tous nos doutes, tous nos serments.
Je suis souvent comme le Ravi, ce personnage des santons de Provence qui, parce qu’il est un peu benêt, sourit à la beauté du…