J’ai, dans la nuit de jeudi à vendredi, fait le rêve que je raconte ici où se mêlent des choses diverses : une curiosité probablement mal contrôlée, qui me pousse à aller dans des endroits où je ne devrais pas forcément aller ; un vélo posé et disparu ; un couple parlant de fesses ; une secte dont les mots m’effraient et que je fuis ; une foule, enfin, cherchant frénétiquement je-ne-sais-quoi dans des fichiers de rats de bibliothèques.
PS : cherchant les sources d’inspiration de ce rêve, je me dis que, pour le Pays basque et la ferme, le dernier film de Cheyenne Carron, La morsure des dieux, a sûrement joué un rôle. Et les voyages de Mirabilibus
Je ne me souviens jamais de mes rêves, mais j’aime écouter ceux des autres. Ils sont riches d’histoires. Le moment où tu rencontres le couple m’a fait rire et l’ensemble du rêve est très visuel, ou peut-être est-ce la façon dont tu le racontes, les deux sans doute… 🙂
Merci Laurence.
Très longtemps, je ne le suis jamais souvenu de mes rêves. C’est à force d’efforts et en me forçant à garder un cahier auprès de mon lit que j’y parviens, se temps à autre, depuis deux ans peut être. Et c’est tellement étrange !
Etrange, oui. Des fragments de soi, des instants que l’on croise, des gens, des lieux, des sons, des matières, des mots, des pensées… enfin tout ce que peut-être le quotidien et qui se transforme durant le sommeil… un autre monde ?
Dans mes rêves, les maisons sont souvent une représentation de moi-même : qui je suis, comment je me vois ou je me sens, etc. Je ne sais pas si cela fait sens pour toi?
Probablement que le tout est un mélange de détails qui t’ont marqué mais que sur le coup tu n’as pas notés consciemment.
Parfois je retrouve dans mes rêves des éléments qui m’ont paru insignifiants mais qui prennent alors une grande ampleur.
Oui. Je ne sais pas. C’est très étrange.