Il y a ces soupirs
Lourds et qui portent le monde,
Et puis cette chose,
Qui monte et se fraie
Un chemin en nous
Comme une bulle dans un tuyau d’eau ;
Comme un sanglot retenu
Qui grandit et éclate
En larmes soudain répandues.
Est-ce cela, s’ouvrir ?
Se laisser aller à cet on-ne-sait-quoi
Qui fleurit parmi les pleurs ?
Thirty 21 juin 2018
Magnifique!
lesnarinesdescrayons 21 juin 2018
Comme ce poème est beau, comme ce poème me touche, et comme il fait écho à ce qui me traverse… Merci Aldor!
malyloup 21 juin 2018
oh…….
lemarcheursolitaire 21 juin 2018
Juste une fissure…. 🙂
laurence délis 21 juin 2018
emotionsdefemme 22 juin 2018
C’est vraiment beau … merci !
Corinne Bellocq 24 juin 2018
Brillant et sensible, j’adore ton poème
Merci
aline angoustures 28 juin 2018
Très juste et fort beau. Merci !
Aldor 21 juillet 2018 — Auteur d'un article
Merci Aline.