Il y a ces soupirs
Lourds et qui portent le monde,
Et puis cette chose,
Qui monte et se fraie
Un chemin en nous
Comme une bulle dans un tuyau d’eau ;
Comme un sanglot retenu
Qui grandit et éclate
En larmes soudain répandues.
Est-ce cela, s’ouvrir ?
Se laisser aller à cet on-ne-sait-quoi
Qui fleurit parmi les pleurs ?
Magnifique!
Comme ce poème est beau, comme ce poème me touche, et comme il fait écho à ce qui me traverse… Merci Aldor!
oh…….
Juste une fissure…. 🙂
♥♥♥
C’est vraiment beau … merci !
[…] connais cette même expérience, parfois. J’en ai l’autre jour fait un poème. Ce sentiment qu’on arrive parfois à ouvrir des vannes qu’on porte en soi, et que […]
Brillant et sensible, j’adore ton poème
Merci
Très juste et fort beau. Merci !
Merci Aline.
[…] ne sait pas pourquoi, bouleversent et font monter en nous, de façon irrépressible, une sorte de sanglot, ouvrent une […]