C’est un étrange paradoxe que de vouloir nous perpétuer dans l’être en commençant par nous abstraire de cette caractéristique fondamentale de l’être : nous sommes incarnés dans des corps d’homme et de femme.
Étiquette : corps
Dorian, Dorian, nous avons tant de mal À croire en la vieillesse, En la décrépitude, S’il n’y avait ton portrait, s’il n’y avait ce corps…
Ils nous attirent, les corps, Les corps voluptueux, Et l’on est fasciné par leur balancement, Leur harmonie, leurs lignes ondulantes, Leur plénitude et leur vitalité…
Nous n’avons pas un corps ; nous sommes ce corps. Nous sommes ce corps aussi, comme nous sommes cet esprit, et peut-être cette âme.