C’est de ne pouvoir tout étreindre ni tout embrasser que nous jouissons vraiment comme dans ces finals de feux d’artifice où nous nous pâmons plus encore de ne savoir où donner de la tête que des merveilles vraiment entraperçues, de la saturation des sens plus encore que de leur satisfaction.
Étiquette : Dom Juan
Cela, nos sociétés aussi doivent l’apprendre : qu’il existe un plaisir à jouir de la beauté du monde sans en faire sa chose, sans chercher à en explorer, à en épuiser, à en exploiter la totalité ; qu’il existe un plaisir à maintenir et à savoir qu’existe un au-delà, un intouché, une place pour autre chose.
K. et moi discutions hier soir, même si le mot n’a pas été prononcé, de l’avidité, thème qui lui est cher et dont elle…