Longtemps, je me suis demandé pourquoi les Poilus voulaient tellement se souvenir de l’horreur des tranchées et de la boue ; je pense que c’est du bonheur de la communion qu’ils avaient surtout la nostalgie.
Longtemps, je me suis demandé pourquoi les Poilus voulaient tellement se souvenir de l’horreur des tranchées et de la boue ; je pense que c’est du bonheur de la communion qu’ils avaient surtout la nostalgie.
Nul besoin de nous retourner pour voir le chemin parcouru : nous ne serions pas là où nous sommes si nous n’avions pas avancé.