Ce qui fait la valeur de la croyance, de la foi, de l’amour, du don, c’est évidemment qu’ils sont librement et joyeusement donnés, épousés, consentis. Comment peut-on ne pas comprendre que, forcés, ils ne sont plus rien ?
Comment ne pas finir par éprouver le vertige, un malaise profond, devant le défilé sans fin de ces femmes, de ces enfants parfois, qui se plaignent d’avoir été abusées, contraintes, violées par des hommes ?