Accepter ce qu’on ne comprend pas, comme le fait aussi Alceste de son amour pour Célimène, c’est toujours périlleux, comme un saut dans le vide. Mais il y a sûrement une part de magie et d’incompréhensible à accepter pour ne pas passer à côté du monde et de la vie. Le scepticisme, « cette carie de l’intelligence » comme disait Victor Hugo, ne peut être notre seul maître. Il est vain et ne conduit nulle part.