C’est de ne pouvoir tout étreindre ni tout embrasser que nous jouissons vraiment comme dans ces finals de feux d’artifice où nous nous pâmons plus encore de ne savoir où donner de la tête que des merveilles vraiment entraperçues, de la saturation des sens plus encore que de leur satisfaction.
Étiquette : plénitude
Il y a des choses : paysages, toucher ou entendre celle que j’aime, visages d’enfants, de femmes ou d’être chers, ou cette chanson, qu’on a entendu en introduction et qui, dès la première écoute, m’a fait tressaillir – il y a des choses qui, on ne sait pas pourquoi, bouleversent et font monter en nous, de façon irrépressible, une sorte de sanglot, ouvrent une déchirure.