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Il y a, dans Les caves du Vatican, d’André Gide, un personnage nommé ou prénommé Lafcadio, qui tient un petit carnet dans lequel il inscrit les émotions qui l’ont étreint et dont il veut, rétrospectivement, se punir.
Il note : “pour avoir pleuré devant Untel, un punta” ; “pour avoir souri avec X, deux punta”.
Il n’est peut-être pas inutile de s’inspirer de cet exemple…
[…] je me mords les lèvres à chaque fois que je le fais, marquant un « punto« , comme Lafcadio, dans le recoin secret de mon esprit où se dressent les […]