Last updated on 28 décembre 2016
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A Alep, je ne peux rien faire. Pour Alep, je crains de ne pas pouvoir faire grand-chose.
Mais le malheur est partout. Il est à Alep, il est ailleurs, il est ici.
Le secours et l’aide que je ne peux pas porter aux habitants d’Alep, que je le porte ici aux réfugiés et aux autres. A ceux que je ne connais pas et à ce que je connais, aux étrangers et aux proches.
Mon incapacité à Agir à Alep ne doit pas être le prétexte à ne pas agir ici. Toute aide est bonne. Et celle que je peux mettre en oeuvre ici et maintenant, dans la réalité, dans l’action, vaut infiniment plus que celle que je regrette de ne pas pouvoir actionner.
Les regrets ne servent à rien. Ni aux habitants d’Alep, ni aux autres.
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