Je me demande s’il n’y a pas, dans notre amour du maquillage, de la coiffure, de la scarification, du vêtement, de la mode, dans notre recherche continuelle de ces atours qui à la fois nous fondent et nous distinguent, le désir de pousser plus loin encore, serait-ce en le brouillant, ce jeu délicieux de l’habit et du moine, du rôle et de la reconnaissance.
Étiquette : distinction
C’est ce que nous devons apprendre : ne pas nous définir, comme c’est le plus facile, le plus tentant, le plus immédiat, le plus naturel peut-être, par le rejet des autres (ou de l’Autre) ; ne pas fuir sous prétexte qu’on nous suit.