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Dans un petit livre, intitulé Remarques sur l’action, Bernard Grasset écrit :
“Agir, c’est à chaque minute dégager de l’enchevêtrement des faits et des circonstances la question simple qu’on peut résoudre à cet instant-là.”.
Cette façon de voir, à laquelle j’adhère aujourd’hui, m’a longtemps été étrangère. Mon éducation était en effet fondée sur l’idée d’une séparation nette entre la pensée et l’action, la première étant supérieure à la seconde.
C’est maintenant que je me rends compte de la fausseté de cette conception d’un monde coupé en deux : l’action n’est pas le contraire de la pensée ; elle est en la fille. Et sans action, la pensée est stérile.
[…] n’est pas identique à hier. C’est, pour reprendre une formule de Bernard Grasset dont j’ai déjà parlé, savoir « dégager de enchevêtrement des faits et des circonstances la question simple […]
[…] pas identique à hier. C’est, pour reprendre une formule de Bernard Grasset dont j’ai déjà parlé, savoir « dégager de enchevêtrement des faits et des circonstances la question simple […]
[…] PS : Les Lettres à un jeune poète ont été traduites en français par Bernard Grasset, lui-même poète de l’action. […]
[…] le faire taire, et partir, sous le soleil ou sous la pluie, sans plus tergiverser, en appliquant ce que disait Bernard Grasset […]
[…] d’une simplification progressive ; c’est l’action, telle que décrite par Bernard Grasset, qui est la capacité d’extraire de l’enchevêtrement incompréhensible des choses le […]
[…] c’est choisir. Ou, comme l’écrivait Bernard Grasset : “Agir, c’est à chaque minute dégager de l’enchevêtrement des faits et des circonstances […]