Ce n’est pas l’assurance que nous voulons, meme si c’est elle qui parfois, souvent nous tente, c’est la confiance, la confiance qui est qui est l’absolu contraire de l’assurance, car placée en l’autre et nous pas en nous-mêmes.
Étiquette : confiance
Ce n’est pas en le réchauffement climatique qu’il faut croire pour s’engager dans le changement ; c’est en notre courage et en celui des autres, en la capacité de tous : individus, groupes, entreprises, États, à faire abstraction de leur intérêt personnel et immédiat pour sauvegarder la possibilité d’un avenir commun.
La croyance, d’ordre mystique, est totalement irrationnelle. Elle nous fait prendre des risques considérables. Tout le contraire des prêches de ce bon Monsieur Spock. Mais c’est d’elle que, depuis toujours, naissent les grandes choses. Elle n’est pas un défaut de la raison ; elle est ce qui, en nous, permet de la dépasser pour partir sur les chemins incertains de l’altruisme, de l’amour, de la foi, de l’espérance, de la découverte. Elle est l’émotion qui nous mène hors des sentiers battus de la raison ratiocinante.
Il arrive que, quittant soudain l’insouciance qui nous permet de vivre, on prenne conscience de la fragilité des choses. Et un abîme s’ouvre alors sous nos pas.
Pauvres désespérés, pauvres frères humains, dans quelle noirceur êtes-vous plongés ! Quelle tristesse doit être la vôtre !
Vient toujours un moment, dans toutes les relations, où l’on ne sait pas, où l’on n’a pas les moyens ou le temps de savoir et où il faut donc s’engager sur la seule foi qu’on a en la personne qui nous dit quelque chose.
Au début de son roman Les Bienveillantes, Jonathan Littell prête à Adolf Hitler la déclaration suivante : « Les chefs doivent à l’Allemagne le sacrifice de…
Lorsque j’ai commencé à travailler dans l’entreprise où je travaille, j’ai passé de longs mois à m’étonner de la façon dont les choses…