Comment ne pas voir que ce qui est reproché aux autorités n’est en très grande partie que le reflet de nos propres comportements, de nos propres aspirations, de notre propre schizophrénie ?
Catégorie : Choses de la vie
Il n’y a pas de symétrie à respecter entre les fauteurs de trouble et les forces de l’ordre car celles-ci sont justement là pour éviter que la violence ne se répande ; elles sont, et c’est un très beau nom, les gardiens de la paix.
Nous n’avons pas un corps ; nous sommes ce corps. Nous sommes ce corps aussi, comme nous sommes cet esprit, et peut-être cette âme.
« Ce qu’il y a de beau dans la relation conjugale entre l’homme et la femme, c’est que les deux ne se comprennent pas »
Les explications simples ont ce grand avantage qu’elles nous évitent de mettre la main dans le cambouis, dans l’épaisseur des choses, et nous permettent de nous en tenir à la seule la dernière couche, qui est la plus superficielle
Ce que je veux sauver, c’est l’enfance et le jaillissement joyeux, incontrôlé et anarchique de la vie, le monde dans son perpétuel recommencement, dans son continuel balbutiement, dans son éternel inachèvement.
Dire que le monde est compliqué, qu’il est à la fois ceci et cela, en même temps ceci et cela, n’est pas forcément fuir, manquer de courage ou adopter une posture dilatoire.
« C’est mon droit »… Tout est dans l’intention. Le droit est fait pour défendre, il est une armure. C’est en mésuser et le pervertir que de s’en servir comme d’une arme.
