Parler de biodiversité est comme parler de ressources humaines. Je ne sais qui a eu le premier l’idée d’employer cette expression mais j’ai du mal à comprendre qu’on ne lui soit pas tombé dessus à bras raccourcis tellement cette dénomination dévoile ce qu’on devrait chercher à cacher : l’assimilation des êtres à une ressource conçue et gérée pour être exploitée au mieux.
Catégorie : Management
L’appétence ! Qu’elle est belle et légère, aérienne, délicate ! On est loin de la grossièreté charnelle et intestinale de l’appétit et du désir !
Si hommes et femmes sont strictement identiques, s’il n’existe entre eux aucune différence, pourquoi veut-on instaurer plus de mixité au sein des équipes, des entreprises, des cercles dirigeants ?
On ne cherche plus à faire bien ou au mieux ; on cherche à optimiser notre notation par l’audit, comme les constructeurs automobiles cherchaient à optimiser leurs moteurs non pas dans l’absolu mais au regard des critères utilisés par les tests de pollution.
Les enfants sont ceux qui croient que d’autres – les grands, les parents, les adultes, les chefs, le pouvoir – ont des connaissances, des compétences, une intelligence du monde qu’eux-mêmes n’ont pas ; et qui se réfugient dans cette illusion pour ne pas prendre les choses à bras-le-corps
On ne demande pas aux autres parce qu’ils nous demandent ; on ne donne pas aux autres parce qu’ils nous donnent ; on demande aux autres parce que nous leur donnons.
Les regards ne s’échangent plus et encore une fois nous constatons que c’est dans les choses les plus impalpables, les plus apparemment insignifiantes, que réside souvent le plus essentiel, ce sel sans lequel le monde perd sa saveur.
Le travail est une punition et un des instruments de la Chute. Or, par un sursaut d’orgueil prométhéen, nous en avons fait l’étendard de notre identité et un instrument de rédemption.
On robotise les tâches pour pouvoir ensuite remplacer les hommes et les femmes qui les effectuaient par des robots.