Ce n’est ni à l’économie ni au droit, ni à tout ce que nous avons inventé pour encadrer nos actions collectives de dire ce que nous devons faire individuellement. C’est à nous-même de le faire.
Catégorie : Politiques
Mais être vulgaire et ordurier, même quand ce ne sont que des mots, et même quand ces mots ne sont ni des insultes ni des injures, n’est pas rien. La vulgarité, dans le débat et la discussion, dégénère le lien social. Elle le sape insidieusement.
Que chacun de nous fasse un retour sur lui-même et extirpe et anéantisse en lui tout ce qu’il croit devoir anéantir chez les autres.
Le long procès des prétendues sorcières de Salem, qui dura plusieurs mois et durant lequel des dizaines de personnes furent condamnées et exécutées, pour…
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J’écoutais ce matin – et redécouvrais – la chanson de Claude Nougaro intitulée Assez ! dont on trouvera un enregistrement (pas très bon) au…
Au début de son roman Les Bienveillantes, Jonathan Littell prête à Adolf Hitler la déclaration suivante : « Les chefs doivent à l’Allemagne le sacrifice de…