Le diable et les créatures de Jerome Bosch, les êtres démoniaques qu’on trouve dans toutes les cultures du monde et que tous les enfants cherchent sous leur lit la nuit venue, ne sortent pas de rien mais de là : il y a, au fond de nous, quelque chose de cruel qui palpite.
Étiquette : Etty Hillesum
Peut-être – sans doute au bout du compte – ne peut-on pas être à la fois totalement à une tâche – ce qu’exige l’attention – et dans le même temps s’ouvrir (ou se laisser aller ?) à cette sorte de distanciation qu’est l’humour.
Que chacun de nous fasse un retour sur lui-même et extirpe et anéantisse en lui tout ce qu’il croit devoir anéantir chez les autres.
Peut-être faut-il, pour ressentir vraiment certaines choses, les recueillir dans le silence, les absorber dans le silence, et dans le silence les laisser mûrir et s’épanouir. A vouloir les dire, les exprimer, les mettre en mots, on risque non seulement de les gauchir, de les affadir ou de les détourner de leur sens premier mais, plus radicalement, de ne pas leur donner le temps.
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