Il est poignant de voir la vérité battue en brèche par le mensonge et la démagogie. Mais c’est la trahir et la gangrener que d’utiliser, pour la défendre, des arguments fallacieux dont l’utilisation sape cette valeur qu’on prétend défendre.
Catégorie : Politiques
Ni le cerf poursuivi par une meute de chiens, ni le taureau mené de force dans l’arène n’ont commis de crime. Ils ont été traqués par plaisir sanguinaire alors qu’ils ne demandaient qu’à vivre leur simple vie. Ils ne sont ni des criminels ni des condamnés mais des victimes. Il n’ont pas à être graciés, eux qui seraient au contraire les seuls à pouvoir pardonner.
Aussi sophistiqués soient les plans sur la comète, aussi élaborés les scénarios des stratèges, aussi sûrs les prédictions des devins et des augures, le futur est toujours inconnu ; la vie est transition, le temps est transition. C’est pourquoi aussi la vie est aventure et c’est pourquoi aussi elle vaut d’être vécue.
Ce n’est ni à l’économie ni au droit, ni à tout ce que nous avons inventé pour encadrer nos actions collectives de dire ce que nous devons faire individuellement. C’est à nous-même de le faire.
Mais être vulgaire et ordurier, même quand ce ne sont que des mots, et même quand ces mots ne sont ni des insultes ni des injures, n’est pas rien. La vulgarité, dans le débat et la discussion, dégénère le lien social. Elle le sape insidieusement.
Que chacun de nous fasse un retour sur lui-même et extirpe et anéantisse en lui tout ce qu’il croit devoir anéantir chez les autres.
Le long procès des prétendues sorcières de Salem, qui dura plusieurs mois et durant lequel des dizaines de personnes furent condamnées et exécutées, pour…
Je traversais hier matin Paris à vélo et me demandais – car c’est une réflexion en cours, au sein de mon entreprise – quels étaient…